Musique

 

Les créations originales de Stephane G.

« il y a de la musique dans le soupir du roseau ; il y a de la musique dans le bouillonnement du ruisseau ; il y a de la musique en toute chose … si seulement les hommes pouvaient l’entendre » (Lord Byron)

Retrouvez Stephane G. en guest star sur le site Bandcamp



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Techno-metal Song

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Shadow


Juste avant de partir

Voici le dernier concert de Stéphane G, enregistré le 25 mars 2013

La Romance de Vaness

Voici une vidéo enregistrée en février 2011, où on voit Steph (le créateur du morceau) entouré de deux profs de guitare : Cyril (à gauche) et Cédric (à droite). La composition a été créée pour le mariage de Vanessa et Jannick.

Prisonnier

Voici le concert de fin d’année, enregistré le 30 juin 2010, avec les mêmes ! : Nico (chant et guitare électrique), Cyril (basse), Florian (batterie), et Steph (guitare 12 cordes). La composition a été écrite lorsqu’Ingrid Bétancourt a été relachée par les FARC.

Contrat Creative Commons Ces oeuvres sont mises à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Paternité – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 2.0 France

44 réflexions sur “ Musique

  1. Voici l’explication du dernier morceau « une balle contre la guerre » :

    Elle est en trois parties et fait 7’50. La première partie montre un jeune homme partant pour la guerre. Arrivant sur place il se met en avant voulant à tout prix massacrer le plus d’ennemis possible, façon game show … en canardant tout ce qui bouge. Le solo à la fin de la première partie identifie ce carnage, jusqu’à ce que la raison commence à prendre le dessus.
    Il se voit alors non plus dans un jeu mais dans la réalité, otant la vie non pas à des personnages de jeux vidéo mais à de vrais personnes avec une famille, des enfants, et noyé par la douleur d’avoir perdus ses frères d’armes. C’est la deuxième partie. Il est envahi par la tristesse car il réalise les mensonges des médias et de l’armée.
    Cette colère apparait au début de la troisième partie. Il se rebelle contre sa hiérarchie et veut à tout prix dénoncer cette guerre contre un ennemi qui a été fabriqué. Il sait que l’homme est bon s’il n’est pas manipulé. Le final montre sa chute sur le sol, exécuté pour avoir dénoncé les mensonges de l’armée et mis en avant les manipulations d’un régime corrompus.

    Le titre amène à réfléchir sur le fait qu’une balle (celle qui l’exécute) peut soulever les foules pour combattre la corruption, alors que l’armée souhaitait étouffer l’affaire. Une balle appelle à l’insurrection, une balle produit non pas la mort mais la liberté de penser.

    Bonne écoute,
    Stéphane.

  2. Merci Linda. De temps en temps, une compo sera postée sur le site. Il faut continuer à surveiller. Mais elles se feront rares car je n’ai plus trop de temps pour ça. Bises, Stéphane.

  3. Avec « Goodbye and good luck to your home » cela clot 5 années de travaux de création à travers diverses compo. Au fur et à mesure elles ont définit un style qui m’est propre, enfin j’espère ;-). Mes compos ont été mieux maitrisées, surtout avec l’aide de mon prof de guitare Cyril et de vos avis. Merci à tous. Et je voulais aussi remercier Jojo mon oncle pour sa disponibilité. Merci aussi à Linda, ma soeur, pour m’avoir donner un peu de son temps. voilà c’est ma partie » Credits ».

    Pour info :
    http://cyril.martinie.free.fr/

    Bonne chance à tous et surtout prenez bien soin de vous.

    Stéphane.

    1. Merci pour ton message 🙂 mais je vois que j’ai pris du retard ! Sur les vidéos entre autre ! Effectivement tu as trouvé ton style qui me plait d’ailleurs, mais ça, tu le savais 😉 et c’est vrai qu’à travers tes compos on voit ta progression ta maîtrise qui apparaît, grandit et s’installe de plus en plus 😉 après on a tjrs à apprendre et dans tout et toute sa vie ! En tout cas c’est tjrs aussi plaisant et agréable à découvrir puis écouter et réécouter tes compos fragin ! 😀 moi je veux que tu continus ;D

  4. Alors voici la toute dernière compo « Mon amour, voici ces quelques roses ». Contrairement aux paroles précédentes, j’ai essayé d’écrire une histoire d’amour qui soit neutre (à l’orale) pour Katell (notre chanteuse). En écoutant la compo, la personne qui parle peut être un homme ou une femme. Du coup ce sera plus facile pour elle de chanter ce texte … enfin c’est ce que je pense mais la réalité peut être tout autre.

    L’histoire laisse la parole à un homme qui a perdu sa femme dans un accident de voiture, sur une route traversant un bois. Les lueurs sont les lueurs des phares mais aussi celles qui nous guident comme celles des phares pour les marins. C’est arrivé un soir d’hiver par un froid glacial afin d’accentuer le contexte dramatique de l’accident. Les roses sont celles qui honorent la beauté de la femme et l’amour qui unit deux êtres. A travers les roses qu’il dépose sur son corps, c’est le mari qui accompagne sa femme dans la mort.

    La compo est en deux parties. La première est mélancolique car il pleure le décès de sa femme. Du coup, il y a beaucoup de claviers pour donner cet enveloppe triste et mélancolique à la chanson. Et la guitare 12 cordes en arpège donne la tendresse qu’il éprouve en pensant à elle. Puis la deuxième parti est plus dansante plus gaie car aimer une personne ne veut pas dire se laisser mourir. Il faut avancer sans pour autant oublié son passé sur lequel on se construit, d’où la fin en arpège 12 cordes.
    Le solo est venu d’un trait. Il a été enregistré sur le canal droit puis sur le canal gauche.

    voici les paroles :
    Tes yeux vides se sont fermés
    Emporté par les vents tu sembles apaisée
    Tu voles au-delà des codes,
    Et toute ma vie je t’aime et je t’aimerai

    Mon amour je t’aime je t’aimerai encore
    Je ne vois que toi dans la lueur qui brille au fond des bois
    Mon amour je t’aime je t’aime encore et toujours
    Et sur ton corps des roses pour ne plus avoir peur du froid … du froid

    Un accident et voilà tout est bien finis
    Figée sur ce sol t’es parti
    Laissant ton sourire au fond des bois
    Un jour d’hivers, sans émoi

    Mon amour je t’aime je t’aimerai encore
    Je ne vois que toi dans la lueur qui brille au fond des bois (chœur)
    Mon amour je t’aime je t’aime encore et toujours
    Et sur ton corps des roses pour ne plus avoir peur du froid … du froid (chœur)

    Aujourd’hui tu n’es plus ici à côté de moi
    Le vent souffle, et je cherche un bout de vie,
    Ton sourire, ta voix,
    Au-delà …, comme une lueur au fond des bois
    Au-delà …, comme une lueur qui n’est plus là (maintenir la voix dans les aigus jusqu’au début des arpèges)

    -Solo-

    Mon amour, voici ces quelques roses,
    Mon amour, voici, c’est peu de chose …

    J’espère que vous aimerez … Bonne écoute.

  5. Dernière compo avec les paroles cette fois. Elle s’appelle « Geisha ». Ce sont des femmes de compagnie qui cultivent jusqu’au raffinement l’art de distraire les hommes. Cultivées (musique classique, danse, …) elles excellent dans le domaine des arts.

    Le texte met en jeu une Geisha rencontrée sur les bords de Garonne par un jeune homme (une Geisha à l’occidentale pourrait on dire avec l’accent toulousain :-)). Il tombe fou amoureux de cette femme. Le texte commence par la fin car elle s’en va en virevoltant au milieu des hommes (1er couplet). Puis on revient en arrière dans le long refrain. Ces femmes sont appelées « femme de porcelaine » à cause de leur maquillage extrêmement blanc qui les rendent intemporelles (ni jeune ni vielle). Très maquillées, aux cheveux noires, on les surnomme aussi les « gotic lolita ».
    Puis quelques années plus tard en la croisant à nouveau, dans le deuxième couplet, il se souvient de cette aventure ou plutôt de cette fugue sentimentale ou fugue ancestrale car elles existent depuis très longtemps au japon. Elles étaient nombreuses aux XVIII et XIX siècles. Mais là, il est devenu un homme avec de l’expérience et ose la tutoyer comme si elle avait partagé sa vie jusque là. Elle est devenu non pas sa femme mais sa merveilleuse geisha!

    La musique est assez cathédrale au début pour donner un peu de solennité à la compo (c’est très solennel au japon). Puis cela s’efface au profit du couplet avec une guitare métal pour la rythmique et un arpège en deuxième guitare. Le clavier est en support. Le couplet repose sur des bases rythmiques que j’avais déjà exploité dans « la peur », mais sous une forme différente. J’aime bien casser le rythme, donner du changement pour ne pas être monotone (pas facile sans le chant). Et enfin le solo avec de la percu et la batterie sur la fin qui donne cet élan, comme une envie de courir ou de danser. Le solo a été travaillé des fois et des fois. Pas facile pour moi car les notes du refrain ne changent pas. Mais je crois avoir trouver un solo qui tient la route. Cyril (mon prof de guitare) a relevé quelques fausses notes que j’ai corrigé => gamme majeur en RE :-). J’ai triplé les guitares sur le solo (canal droit, gauche, et centre) pour donner cet espace que je n’avais pas avant. Je trouve ça intéressant. Mais en concert cela ne sera pas possible!!

    Voici les paroles de « Geisha » :
    [début]
    Couplet 1 :
    Elle s’en allait / Sur les chemins de Garonne
    Elle virevoltait / Parmi les hommes

    Refrain :
    Je la regardais
    Je l’admirais
    Jeune lolita
    Aux lèvres colorées, abandonnées

    Belle comme le jour
    Au milieu d’un détour
    Les yeux gênés
    Elle m’a souris, la « gothic loli »

    Fugue sentimentale
    Fugue Ancestrale
    Elle m’a laissée
    Seul, envouté, encore sous le charme

    Je l’enlaçais
    Je l’embrassais
    Sur un tapis de laine
    La femme de porcelaine

    couplet 2 :
    Mes larmes se sont séchés / Et dans mon souvenir je t’ai aimé
    Jeune femme au parfum de fleurs / Tu as su brulé mon cœur

    Refrain :
    Je t’ai regardé
    Je t’ai admiré
    Jeune lolita
    Aux lèvres colorées, abandonnées

    Belle comme le jour
    Au milieu d’un détour
    Tes yeux gênés
    Tu m’a souris, ma « gothic loli »

    Fugue sentimentale
    Fugue Ancestrale
    Je t’ai aimé
    Seul, envouté, encore sous le charme

    Je t’ai enlacé
    Je t’ai embrassé
    Ma lolita
    Ma merveilleuse Geisha
    [fin]

    Des nouvelles du groupe … Jean François nous a quitté car il ne pouvait pas participer aux répétitions du mercredi soir. Du coup, Loris nous a rejoins au clavier. Il est aussi bassiste et a une très bonne oreille 🙂 … Attention aux canards!!! Nous sommes tous de la même entreprise. C’est plus simple pour partager les locaux et communiquer. On répète actuellement Nightwish (Oasis est terminé). Et je leur ferai écouter une nouvelle compo acoustique (en cours) pour le concert de mars. Si elle leur plaît alors des paroles seront écrites et on commencera à la répéter aussi… et à l’enregistrer.

    Voilà! vous savez tout. A bientôt.

  6. A tous,

    voici quelques nouvelles du groupe qui se monte autour des compos …

    Jean-François jouera les claviers (synthé, piano). Nous avons donc :
    – Yann à la batterie,
    – Fred à la guitare électrique,
    – Sylvain à la basse, et guitare électrique
    – Katell notre chanteuse, et guitare acoustique
    – Jean François aux claviers
    – Stéphane guitare électrique, basse, et synthé

    Nous choisissons actuellement les morceaux que nous aurons à notre répertoire.
    Pour les compos, il y a pour l’instant :
    – A l’aube des premiers jours => choisis par Yann
    – A song for you => choisis par Jean-François
    – Soldats, auriez-vous oublié ? => choisis par Stéphane

    Pour les chansons existantes, il y a :
    – Nightwish « Sleeping Sun » => choisis par Yann
    – Pink Floyd  » wish you were here » => choisis par Stéphane

    Il semble que Jean-François hésite sur deux chansons de Queen entre « we are the champion » et  » Bohemian rapsody » … à voir.

    Quant à Katell, Sylvain, et Fred, ils réfléchissent encore un peu …

    Pour info : Jean-François a réalisé quelques compos postées sur : http://jotd.pagesperso-orange.fr/

    A bientôt,
    Stéphane.

  7. Bonsoir à tous,

    voici le texte de « No name 3 » qui en fait s’appellera « Soldats, avez vous oublié ? » en référence aux guerres dans le moyen orient et spécialement entre le Hamas et Israël.
    « Couplet 1 :
    Soldats, emportés dans les tourments de la guerre
    Tombés morts assassinés pour vos frères
    Tant de vies … tant de vies brisées, oubliés, abandonnées!

    Couplet 2 :
    Soldats, vos mains tremblaient sur vos fusils naguère
    Vos cœurs sont ils devenus à ce point des pierres ?
    Avez vous oublié vos peurs, vos prières en quittant ce cimetière … ce cimetière ?

    Refrain partie 1 :
    Guerre et paix ne sont ils que des mots
    Des mots que vous aimeriez oublier ?

    Couplet 3 :
    Soldats, entendez ces hommes qui seuls pleurent leurs frères!
    Ce sont vos larmes que vous séchiez à la guerre
    Sous les bombes, rampants entre les cadavres … les cadavres … les cadavres à terre.

    Refrain partie 2 :
    Dans vos yeux tant de haine … tant de haine!
    Et sur vos mains tant de peine … tant de peine!

    Refrain :
    Guerre et paix ne sont ils que des mots
    Des mots que vous aimeriez oublier ?
    Dans vos yeux tant de haine … tant de haine !
    Et sur vos mains tant de peine … tant de peine!

    Couplet de fin :
    Si peu de joie, soldat!
    Et de cris là-bas, soldats!
    Guerre et paix ne sont ils que des mots …. que des mots ?
    Votre histoire n’est elle qu’un fardeau
    Un fardeau si lourd à porter ?  »

    … si tous ces soldats du plus haut gradé au plus petit pouvaient m’entendre!!!

    Stéphane.

  8. Salut à tous,

    deux nouvelles compo qui n’ont pas de nom d’où leur titre « No name » et « No Name 2 ». La première est courte mais avec une fin plus funk. La deuxième est plus progressive, Mais avec une mélodie qui j’espère vous accrochera. La structure est classique avec une longue intro. Puis vient le couplet (batterie douce et clavier et basse en fond) puis le refrain. Il faut imaginer le chant. Puis une deuxième fois. Puis vient le solo lancé par le pont. Car il commence sur le pont puis continue sur le refrain répété plusieurs fois. Puis la fin qui répète une partie de l’intro. Et la boucle est bouclée.

    Ces deux compo me permettront de lancer le groupe que l’on bâtit avec des collègues de boulot. Une partie de notre répertoire contiendra les compo et l’autre partie contiendra des chansons existantes que nous aimons. Ce sera un mix des deux. Pendant 2 à 3 ans je pense, on jouera au CE du boulot histoire de nous aguérir. Puis on verra si l’on peut jouer à l’extérieur (bars, festivals, … et peut être au delà qui sait 😉 non,je rigole car nous ne sommes pas des pro. C’est juste entre potes du boulot. Mais cela reste un rêve … et si jamais!).
    Le groupe est composé de Yann (à la batterie), Fred à la guitare électrique, Sylvain à la basse, Katell notre chanteuse à la voie sublime et aussi à la guitare acoustique. Enfin on est toujours à la recherche d’un « vrai » clavier dans le périmètre du boulot, histoire de rester entre collègues. Peut être aurons nous une deuxième chanteuse … à voir. Mais cela risque de faire beaucoup de monde!

    Voilà les nouvelles et bonne écoute. A très bientôt sur Radio Néo je pense dans l’émission le Labo pour la rentrée.

    Bonnes vacances à tous … pour moi c’est dans une semaine 🙂
    Stéphane.

  9. Ce soir je serai sur Radio Néo dans l’émission « Le labo » pour vous faire écouter la compo « Que d’l’amour! » sur laquelle j’ai ajouté la ligne de basse. Puis demain ce sera au tour de « Linda’s Birthday », aussi mise à jour sur le blog. Radio néo c’est :
    Paris et Ile-de-France : 95.2
    Toulouse : 94.8
    Bourges : 100.0
    Ecoutez Radio Néo 24h/24 :
    – sur Internet avec le Player Radio Néo
    – sur Windows Media Player, Media Center et Winamp grâce à Todae
    – sur votre lecteur multimedia par défaut
    – sur ComFm
    – sur votre mobile iPhone / iPod Touch par l’application LiveRadio.

    Alors à très bientôt entre 21H et 21H30 (et demain aussi) …

  10. « Linda Birthday » est une compo pour l’anniversaire de ma sœur Linda. Elle sera jouée en concert fin juin. D’ailleurs un groupe d’un soir est monté pour la jouer. Le groupe s’appelle PMES pour Pascal Marc Enriqué Stéphane. Pascal est à la guitare Lead, Marc à la batterie, Enriqué à la basse. Quant à moi, je suis à la guitare rythmique.. Et je cherche actuellement le clavier. Nous sommes tous des élèves de la section musique de Thales Toulouse. Les répétitions commenceront la semaine prochaine. Sur l’enregistrement, je joue l’ensemble des instruments comme la guitare, synthé, et aussi la basse. Et comme d’habitude, la batterie est une succession de sample mixés/coupés/modifiés. Merci Jean Ba pour la basse. Comme tu l’entends je m’en sers 🙂
    Elle est en deux parties : la première est une structure classique à couplet/refrain. Puis vient la deuxième partie plus progressive, avec des changements d’accords successifs et une partie à deux guitare et enfin le solo de fin.
    Il ne manque plus que des paroles … j’y travaille 😉

  11. « Que d’l’amour » est une chanson pleine d’enthousiasme avec une partie plus métal (sur le pont). Les solos sont différents mais les accords restent identiques. Réalisée en un week end à peine, elle a été ma réaction face à une autre compo qui s’appelle « Tristesse ». Cette compo plus sombre a été traitée de « dépressive » par mes collègues de boulots Fred et Marc … surtout Marc. Le titre vient d’ailleurs de lui car c’est la phrase emblématique de Patrick Sébastien reprise par Laurent Gerra. Marc et Patrick Sébastien sont des anciens rugbyman. Bref c’est en leur honneur qu’elle existe aujourd’hui!

  12. La dernière compo passée sur Radio Neo pour la nouvelle année est terminée. Elle se nomme « Entendez ». Les paroles sont écrites. C’est à la fois un hommage à Daniel Balavoine « tous les cris les SOS » et un regard porté sur nos rapports avec les Sans Domicile Fixe (voir les marginaux). Elle est en 3 parties.
    La première décrit notre regard sur ces gens qui ont choisi une autre façon de vivre sans respecter les règles du système établis par les dirigeants de la planète, pour mieux trouver leur liberté. Au travers de la musique ils sont associés à des monstres dont on a peur … à la fin de la première partie, un hélicoptère de police et un coup de feu alors qu’on entend un coeur battre et paniqué.
    La deuxième partie à la 6 cordes et flute (+ synthé en fond) porte une analyse sombre sur nos rapports avec ces gens. La tristesse qui se dégage du morceau montre toute la tristesse et l’incompréhension que je peux avoir envers moi et les autres.
    La troisième partie pose le texte. Contrairement à mon habitude, j’ai préféré terminer par les mots et non par un solo. La guitare répond au clavier comme un dialogue entre la conscience et le système mis en place. Et notre regard changera le jour où nous prendrons conscience que nous pourrions être ces gens là.

    Voici le texte : Entendez (01/02/2014)
    1ère partie
    Entendez tous ces cris, ces SOS
    Marchant avec paresse, Seuls,
    Levant les poings,
    Entendez …

    2ème partie (tristesse)

    3ème partie
    Entendez tous les cris les SOS
    Qui parcours les rues noyés dans l’allégresse
    Ces cœurs fatigués, perdus dans leur tristesse
    Mort un jour, mort sans d’autre promesse

    Puisez dans vos rêves la force d’aimer
    Aimer pour sauver et délivrer
    Réveillez tour à tour ces vies brisées
    Meurtries au plus profond de leur passé (éternité)

    Entendez tous ces cris ces SOS
    Qui parcours les rues avec paresse
    Ce sont nos cœurs, vidés, sans allégresse
    Mort un jour, et bien plus que par faiblesse

  13. Dernière compo sans titre actuellement : je viens de la passer à l’instant sur Radio Néo (émission Le labo). Apparemment surpris au départ (ils s’attendaient à une vrai chanson de bonne année 2014), ils ont été agréablement surpris en final. J’espère que vous l’avez aussi appréciée en plus du message des vœux 2014 (voir la page d’accueil du blog de Jojo). A bientôt pour le reste de la compo … car ce n’est que l’intro d’une compo en cours 🙂

    A bientôt pour la suite …

  14. Moi j’aime bien tes musiques 😉
    Mais celle-ci, même si techniquement elle est très bien, je n’accroche pas 🙁
    Et je préfère vraiment « L’homme contre Nature » 😉
    Aller, continues comme ça, on aime bien tout de même !!

  15. A tous voici la dernière compo « A song for you » c’est à dire une compo pour celles et ceux qui aime ma musique. La partie guitare basse a été jouée par Cyril mon prof de guitare. C’est la deuxième fois (avec Elle & Lui) qu’il met sa basse sur une compo. C’est vraiment bien car du coup elle a vraiment pris du volume. Elle est basée sur 4 accords qui n’appartiennent pas à la même gamme, un pont au milieu histoire de changer un peu et voilà. Elle fait 3 mn environ. La guitare électrique rythmique est plutôt funky mais toujours dans une registre plutôt métal. Ca peut perturber! Bonne écoute …

  16. le 03-11-2013, nouvelle compo « L’homme contre Nature ». Elle fait 8’52mn. Elle est longue mais il y a bien longtemps que je n’ai pas fait de telle chanson. Je l’ai initiée pour l’anniversaire d’un ami de longue date. Il m’a été difficile de la réaliser car je voulais la commencer et la terminer avec la même mélodie. Le problème est qu’il faut trouver les accords qui en partent, puis vont dans une autre direction sinon cela fait répétition, pour enfin y revenir. Bref n’ayant jamais fait de solfège, cela fut plutôt difficile. Et le tout sans faire une chanson vraiment trop longue. Il y a parfois des passages d’accords un peu rudes, enfin je crois. Mais ils semblent acceptables … pour mes oreilles 🙂

    Elle est en 4 parties :

    – La 1ère représente la rencontre de la Nature avec l’homme. Au commencement de la chanson la Nature est seule. Puis elle rencontre l’homme (passage avec les synthés) pour échanger leurs mondes. Mais ils se disputent (synthés + guitares). Car bien sûr la première fois ça ne marche pas! c’est connu 😉

    – la deuxième représente la séparation (guitare 12 cordes avec d’un côté la Nature et l’homme de l’autre côté (avec effet stéréo dans les oreilles), puis le pardon, et enfin la réconciliation.

    – La 3ème représente le groupe qui permet d’être plus fort ensemble, Les guitares sont puissantes. C’est mon côté métal 😉

    – et la quatrième partie conclus et initie la boucle, le cycle de la vie pour l’homme et la Nature.

    Voilà à présent vous comprenez ce que j’ai voulu dire. Il nous faut protéger la Nature pour qu’elle nous protège à son tour. A bientôt pour une autre compo …

  17. Ce soir, je vais suivre les conseils des Lolo & Co, deux de mes meilleurs potes et aussi collègues de boulots. Alors je vais vous expliquer le cheminement intellectuel du titre « NO Limit! ». Il y a deux raisons. L’une est musicale et l’autre est l’extrapolation de la première.
    La compo est en 3 parties. La première agréable à entendre représente plutôt la douceur, le calme. Elle identifie une société tranquille et en harmonie avec soi-même. Puis dans la deuxième partie, le rythme s’accélère. Le coup de cymbale du début lance une nouvelle ère. C’est un peu comme un nouveau jour ou une métamorphose. La société à des choses à dire (représentées par la guitare), elle conteste puis finit par se taire (fin des guitares). Mais les cœurs ont encore des questions et la colère monte, sourde. Les cœurs sont représentés par le piano qui fait le lien avec la troisième partie. Celle ci représente la colère avec la batterie et l’ensemble des instruments. Elle s’exprime d’un coup car elle vient de l’intérieur, comme une explosion. C’est alors que les limites sont dépassées. La batterie représente le mieux ce que je veux dire, soutenue par les synthés. Les guitares basses représentent la chargent sans limite qui est lancée à chaque fois. Car rien ne les arrête. Les limites ne peuvent être stoppées si ce n’est pas un gros big bang qui arrive sur la fin (fin des batteries). Le paysage est alors un paysage de ruines et de désolation.

  18. Je voulais saluer 3 personnes qui suivent mon actualité musicale sur Deezer. Il s’agit de Lukas, Crigal, et Kevin. Bienvenu à vous trois et surtout partager le plus possible la musique que vous aimez.
    Bientôt je passerai sur Radio Néo avec « NO Limit! ». J’espère pouvoir le faire la semaine prochaine. Mais comme d’hab, j’vous le dirais juste avant en vous rappelant les liens habituels.

    Bye!

  19. Bientôt une nouvelle compo sur le blog. Elle s’appelle « No limit ». Elle ne fait pas référence à la série TV de Luc Besson, bien que j’apprécie ce réalisateur. C’est un des rares français à être connu à l’étranger. Vu qu’on fait fuir les autres (merci les médias français je pense à l’équipe notamment car j’ai revu récemment Thierry Henri pour une pub en anglais!), lui a fait le choix de travailler en France.

    Non, ce titre vient du fait qu’aujourd’hui il n’y a plus aucune limite dans ce que l’on voit ou dans ce que l’on entend. C’est comme un challenge, un truc qui fait pisser plus loin que les autres et qui fait parler la testostérone. On le voit partout, dans la rue, les journaux, dans la politique, dans les finances, en affiche parfois, au cinéma, entre amis, … A tel point que le sport est devenu extrême aussi. Et pourtant le sport est là pour nous éduquer et non pour se prendre des gadins et ne plus se relever. Certe certain audacieux recherchent l’adrénaline. Et pourquoi pas ? Ils sont professionnels après tout. C’est leur choix. Mais d’autres comme vous et moi, tentent la même chose. Mais veuillez insister sur les conséquences plutôt qu’insister sur la grandeur de votre domaine. Les conséquences justement, plus personne n’en mesure les effets. C’est comme les agressions, les vols, les braquages. Tout semble devenir normal sans aucune conséquence. Et pourtant il y en a.
    Mais le No Limit c’est aussi positif que négatif. Car cela permet de trouver la confiance en soi. La confiance c’est un des mal de notre siècle (avec le choix) car tout repose sur ça : la confiance dans un système qui s’effondre, la confiance des autres ou pour les autres. Le partage est basé sur la confiance car on sait que l’on ne nuira pas à l’autre et inversement. Mais le partage disparait au profit d’un système régulé, drastique … êtes vous réellement libre ? Moi je ne le crois pas. Là je me suis un peu lâché. Mais je me reprends 😉 Car voici la description de la compo.

    Elle est en 3 parties. J’ai repris le modèle de la compo précédente « D’un bout à l’autre sans rien dire » qui est sans doute une des meilleures que j’ai joué. Car comme vous le savez je compose à l’oreille, ne connaissant pas le solfège. Et donc je n’écris rien, au grand dam de Cyril mon prof de guitare qui ne s’arrache plus les cheveux d’ailleurs car il les a rasé depuis longtemps 😉 .

    Bref La première partie est jouée comme une berceuse car nous sommes tous des enfants quoi qu’on puisse dire. Basé sur l’accord de Ré majeur, j’ai trouvé un son au piano-synthé qui rend super bien (toujours avec mon logiciel Studio One et ses extensions). J’ai placé un accompagnement mélodique au synthé et à la 12 cordes. Puis, en deuxième partie, on lance la compo avec un son de guitare électrique saturé du type David Gilmour, le tout en Power Chord. Ça rend vraiment bien! La guitare PRS que j’ai y est pour beaucoup. Le thème est posé. En troisième partie, je fait intervenir le piano en jouant sur le rythme. Il fait le lien entre la 2ème partie et la 3ème partie. Cette dernière est ma préférée d’ailleurs. Et là je me suis lâché à la batterie. Ça faisait longtemps, tiens ;-). J’adore ces morceaux où il y a des passages mélancoliques et plus agressifs à la fois. On retrouve cela dans le rock progressif. Mais les morceaux sont beaucoup plus longs. A force d’être chambré par les amis je fait attention maintenant. Et puis une chanson courte passe plus facilement à la radio, notamment sur radio Néo. Et je pense que celle-ci va y faire un tour tout comme la précédente. La troisième partie reprend le thème de la deuxième mais sous une forme différente car le piano est devenu l’élément majeur . Avez vous remarqué le rythme entre la batterie, le piano, et la guitare électrique ? J’aime bien aussi mélangé les genres.

    Alors bonne écoute …

  20. Le concert de la section musique de Thales Avionics Toulouse aura lieu le 28/06 au CE Thales Avionics à Toulouse (et non le 29/06 comme déjà écrit) et toujours à 19H30.

  21. Toute dernière compo entièrement instrumentale avec du GROS SON! Batterie « métal », guitares « métal », et synthé très discrets. Les guitares sont mises en avant dans ce titre à travers le mixage. Contrairement à la compo précédente « Les rêves » qui est restée incompréhensible pour Jojo (et peut être d’autres) alors que je pensai avoir une bonne chanson, Je suis passé dans un style instrumentale et aussi plus punchy. Car il y a de l’énergie dans celle-ci. Elle est en 5 parties et pourtant c’est la plus courte en temps : 4’42mn toute mouillée! La première partie est plutôt triste avec une belle mélodie et un jeu à la guitare qui est bien dans le trip. Puis on se pose et on reprend les bases avec un synthé marquant le rythme et une guitare Hummm! … WAOUH! … doublée à la basse ça va arracher les implants sur la tête 😉 Puis j’ai créé une modulation (changement de ton) pour relancer la chanson avec un effet guitare à la Pink Floyd (avez vous reconnu ?) et se termine en feu d’artifice avec une batterie explosive et un break que j’adore entre les deux passages. La quatrième partie est plutôt minimaliste en forme de pont qui amène à la cinquième partie que je trouve pas mal du tout (autosatisfaction …;-)). La basse (6ème corde) reprend plus ou moins le rythme imposé lors du pont, puis adapté par deux mélodies sur 3 notes, la première sur la 4ème corde et la seconde sur la 5ème corde. Puis le solo de fin très court contrairement à mon habitude 😉 … Donc on l’écoute d’un bout à l’autre, sans rien dire car il n’y a aucune parole. Quant à la compo « Les rêves », on va attendre un peu pour la mettre sur le blog. Cyril, mon prof de guitare (aussi sur les vidéos), prépare la partie guitare basse pour donner du caractère. Je rappelle son site http://cyril.martinie.free.fr/. Et finalement peut être ferons nous une version studio avec Nico pour le chant (aussi sur les vidéos). Je rappelle aussi le site de son groupe « TournefRock » : https://www.facebook.com/tournefrock. Ils jouent régulièrement dans l’agglomération Toulousaine et à proximité. Quant à Cyril, avec son groupe Moïra, ils ont sorti un disque dispo sur http://moiraband.bandcamp.com/. A écouter pour celles et ceux qui aiment le post hardcore.
    Mais pourquoi me direz vous avoir attaché autant d’importance à l’avis de Jojo ? Jojo est avant tout mon parrain et mon oncle, ma famille, et nous partageons les mêmes goûts musicaux mais avec quelques années d’écart ;-). Car même s’il est en charge du maintien du blog, je pourrais ne pas attacher d’importance à ses avis. Sauf que jusque là, ils ont été pertinents et notamment sur la chanson « Le moulin des supplices », chanson phare de mes compo … même si je préfère « A l’aube des premiers jours » et Lolo « Prisonnier » ;-). Bref, j’attache beaucoup d’importance à son avis. Mais je reste persuadé que « Les rêves » est quand même une bonne chanson … c’est mon rêve 🙂 A voir ce qu’elle donnera en concert … car le concert de fin juin se prépare … le 29/06 précisément à partir de 19H30 au CE Thales Avionics à Toulouse.
    Voilà, voilà … et je pense aussi que je vais refaire un petit tour sur radio Néo dés que possible avec cette nouvelle compo. Je rappelle aussi :
    Paris et Ile-de-France : 95.2
    Toulouse : 94.8
    Bourges : 100.0
    Ecoutez Radio Néo 24h/24 :
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    Lusat bande de p’tites graisseuses et bande de p’tits graisseux « dixit Mr Francis Zégut ».

  22. Voici la dernière compo. Ecrite en 3 jours … de convalescence!! planté par une angine et un coup de fatigue, et seul à la maison. C’est une des plus belles chansons que j’ai pu écrire, à mon goût. La batterie est uniforme sur ce morceau, Mais la mélodie est géniale. Céline a été ma muse à la fois pour la musique et pour le texte. Parti d’une compo existante « Celine », je l’ai développée et voilà le résultat. Elle est prête pour le concert de mars 2013. Il ne manque plus que la voix de Nico.

    JUSTE AVANT DE PARTIR … (LYRICS)

    INTRO (arpège 12 cordes)

    1er couplet :
    Céline,
    Fleur de Lune au parfum fruité
    Si discrète, comme oubliée
    Tu es si belle, enchanté !
    Céline,
    Comme la rose au milieu des prés
    Mon amour, ma vérité,
    Nos deux cœurs se sont aimés

    2ème couplet :
    Céline,
    Nos regards se sont tournés
    Comme nos vies, ils se sont en allés
    Loin des pleurs, des souvenirs égarés
    Car n’est-il
    Qu’un jeu ou qu’une douleur ?
    Ton amour m’a donné tant de bonheur
    Qu’il ne me reste plus d’ailleurs

    3ème couplet :
    J’ai mal
    J’ai si mal d’être parti
    Avant même de t’avoir dit
    Ce que je cherchais réellement
    Céline,
    Mon amour, ma volonté,
    Nos sentiments dans un dernier baiser
    Pour nos vies, dans nos pensées

    Pont :
    Oh loin des terres, je veux t’aimer
    Et t’embrasser,
    A nouveau te surprendre, entendre ta voix
    Se parler
    Oh loin des mers, je veux t’aimer
    Et t’enlacer, sans se quitter…

    SOLO 12 cordes (2 couplets)

    4ème couplet :
    Céline,
    Fleur de Lune au parfum sucré
    Mon jardin secret, mon havre de paix
    Tu resteras la plus belle des fées
    Mais je meurs,
    Sur ce lit, … agonisant,
    Et pour moi dès à présent
    Ton souvenir … ton souvenir… sera mon dernier … instant.

  23. Grandir – C’est un mot que l’on entend souvent dés notre plus jeune âge et même après … à l’âge adulte. C’est aussi un mot qui change de sens au cours de sa vie car il faut grandir par la taille lorsque l’on est enfant, et en esprit à l’âge adulte … surtout avec vous les femmes! Ce sont des moments parfois difficiles car il n’est pas toujours facile de grandir lorsqu’on est enfant. Car grandir ça fait peur. Mais grandir c’est aussi ne plus avoir papa et maman sur son dos, c’est découvrir par soi-même le monde qui nous entoure, c’est comprendre les autres, c’est faire des choix mauvais ou heureux. C’est tellement de choses qui font qu’un jour on ne dit plus grandir mais vieillir. Et à ce moment là, tu comprends pourquoi tu ne voulais pas grandir!
    J’ai deux garçons et cette chanson me rappelle les temps où ils me disaient qu’ils ne voulaient pas grandir. Et je comprenais tellement ce message car moi aussi je ne voulais pas grandir. Je n’aurai jamais voulu grandir. Et c’est dur d’expliquer à ces enfants ce que l’on ne voulait pas entendre. Mais c’est aussi ça le rôle de père. A tous les enfants de la terre, grandir il le faut comme disait Yoda, Mais prenez le temps car il n’est jamais trop tard. Ce qui est important c’est de franchir les étapes au bon moment, de faire les bon choix. Et si parfois les choix sont mauvais, car cela arrive, il faut être fort et rebondir. Mais comme toute chose qui nécessite des efforts, c’est plus facile à dire qu’à faire.
    Aujourd’hui le plus petit de mes garçons, qui a 11 ans, a fait sa rentrée en sixième. Pas très rassuré hier soir, il s’en est sorti comme un chef aujourd’hui. Il a grandi! Et je suis fiers de lui. Le grand rentrera en troisième demain. Bon courage pour demain. … hé oui ça pousse … avec de l’eau et de l’ice tea!

    Cette chanson est en 2 parties avec un pont entre les deux. Je l’ai voulu plus guitare électrique que synthé ou guitare acoustique. Elle est omniprésente car elle représente le monde des ados, celui qui nous propulse dans le monde des adultes. La mélodie est simple avec un son distordu, un son bien ado quoi!! Écrite en 1 semaine, je l’ai reprise sur sa deuxième partie qui n’accrochait pas Jojo et moi aussi finalement. Comme quoi Michaël Jones avait raison, il faut composer, se poser quelques jours, puis écouter. Le solo a été joué en plusieurs fois, au moins une bonne vingtaine de prises avant d’arriver à ce résultat. Le synthé a été retravaillé légèrement pour suivre les accords que j’avais trouvé à la guitare. Ces accords je les ai trouvés en modifiant l’ordre des accords du pont qui sont Fa, Sol, La. C’est devenu La, Fa, Sol, La et tout en barré car ça sonne mieux. La mélodie est reprise de la mélodie présente juste avant le pont. Elle a juste été adaptée aux nouveaux accords. La mélodie est jouée sur deux guitares, l’une avec son plutôt Steve Vai (un son métal mais plus aigu … enfin c’est mon point de vue) et l’autre avec son plus métal (plus grave que le précédent). Quant à la basse que vous entendez, elle ne provient pas d’une guitare basse mais d’un mix entre une basse synthé et la ligne de basse de la guitare électrique. Cela fait plusieurs fois que je l’utilise et je trouve que cela fonctionne bien. Maintenant vous savez tout.
    Juste un léger mixage sur le solo reste à faire car il est noyé dans le volume de la mélodie de fin. Et ce sera bon je pense. J’attends les remarques de Jojo … et les votres aussi si vous le souhaitez. A bientôt ….
    Stéphane.

  24. Pour info,

    je serai sur Radio Neo le mardi 12/06 entre 21H et 23H dans l’émission « Le labo ».

    Paris et Ile-de-France : 95.2
    Toulouse : 94.8
    Bourges : 100.0
    Ecoutez Radio Néo 24h/24 :
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  25. Voici une nouvelle version de « A l’aube des premiers jours », retravaillée sur la première partie. Comme je n’arrivais pas à faire sonner la guitare solo, j’ai décidé de mettre en avant beaucoup plus le clavier au détriment de la guitare. La mélodie a donc changé, et les paroles sont à reprendre :-/. Quant à la rythmique, elle reste identique (guitare saturée, guitare claire). J’ai dû retravailler légèrement la batterie sur la fin de la première partie car si vous écoutez bien vous entendrez un décalage d’une mesure entre la batterie et la mélodie (synthé et guitare). A travers ce gadget (pas très solfège je pense ;-)), j’ai voulu montrer l’ascension du soleil à travers la mélodie qui du coup est en avance sur la rythmique. Mais bon ce n’est qu’un avis … fumeux! Pour celles et ceux que ça intéresse le son de la guitare est celui de The Edge (U2) dans « Where the streets have no name ».
    Jojo et Cécile (une collègue de bureau – Bonjour Cécile ;-)) m’ont dit que le début ressemblait à du Pink Floyd. Étant eux même fans de PF, je suis totalement convaincu. Cool, si le reste pouvait être aussi bien … Mais aussi que la fin de la chanson se terminait trop brusquement … Ah! bah non! Va donc falloir que je retravaille le solo de fin … déjà pour le reproduire ça va être galère car c’est en réalité une impro et aussi je me demande bien comment je vais le développer un peu plus … sans gâcher le reste.
    Et bientôt vous pourrez voir une vidéo … j’y travaille! A bientôt.

  26. Voici les paroles de « L’aube des premiers jours » (modification légère du titre) :
    Début :

    (1ère partie : sur la guitare solo)

    Soleil, Oh soleil,
    Si chaud …
    Merveille, Oh merveille,
    Si beau …

    Dans la brume céleste _étoilées, bleutées,
    Il ouvre des univers _oubliés.
    Comme un navire _sillonnant les océans,
    Hérissés par les vents,
    Il envoie _les ombres des anges au firmament.

    Endormis, il s’élève à travers les prairies, les bois sauvages,
    Et contemple de sa hauteur nos campagnes sans âge,
    Pleines de larmes, pleines de larmes, pleines de larmes, pleines de larmes, pleines de larmes, et si _calmes, … si calmes.

    Tel, le souffle de la mer _soulevant l’écume des vagues,
    Il flotte sur l’air frais _qui divague,
    Comme l’oiseau si fier, qu’il chante,
    Au milieu de la _tourmente.

    Réveillant la nature _endormis depuis si longtemps, si longtemps,
    Amenant à sa voilure les essences des vents, si doucement, si légèrement,
    Les distillant pour toujours,
    Comme à l’aube des premiers jours.

    (2ème partie : sur la guitare solo)

    Au plus haut _dans le ciel, _il nous porte,
    Il réchauffe les cœurs,
    Et se plaît _à contempler pendant des heures _les fleurs de Judée,
    A transporter la vie dans nos cœurs abimés.

    Au plus haut _dans le ciel, _il nous porte,
    Il réchauffe les cœurs,
    Et se plaît à contempler pendant des heures les fleurs qui fleurissent,
    A maintenir la vie dans nos cœurs abimés qui se rétrécissent.

    Fin

    Légende :
    _ : marque une pause plus ou moins légère

    Les paroles sur la deuxième partie collent moins à la guitare électrique. Pour un concert il faudra retravailler l’ensemble. Mais l’esprit est là.
    Avez vous remarqué que le piano représente le soleil qui se lève. C’est pourquoi vous l’entendez progressivement au début de la deuxième partie. L’ambiance sonore est celle du levé du jour, paisible et frais.
    La première partie pourrait être une description de ce qui se passe, comme si quelqu’un le narrait.

    Il me reste à présent les paroles « Du moulin des supplices » … n’est ce pas Marco!! j’ai bien dit … DES SUPPLICES! 😉

  27. L’aube du premier jour : voici la version avec le solo sur la fin. J’ai aussi ajouté du piano avec un rythme différent et j’ai rejoué la guitare sur la 1ère partie (modification de l’effet à la pédale qui ne me convenait pas). Contrairement aux solos précédents, celui ci est plus cours. A vous de me dire si vous aimez …

  28. Vous trouverez une nouvelle compo « L’aube du premier jour ». Je la voulais mélodieuse avec de la guitare électrique et du synthé, beaucoup de synthé. Elle représente le levé du jour, un soleil jaune pâle sur un fond bleu clair. L’air est frais. C’est comme une belle journée d’été qui commence. Vous savez l’ami Ricoré … Si vous avez un bon ampli et un bon casque ou de bonnes enceintes vous pourrez écouter religieusement le début qui fourmille de petits bruits. Mais pourquoi le premier jour me direz vous ? parce que je pensais qu’en m’inscrivant sur MMC, j’allais envoûter la planète entière!! 😉 la rendre folle comme à l’arrivée du king, des Beatles, ou de Michael Jackson. Il y a bien la batterie de Billie Jean pourtant. Mais je n’ai pas son talent :-/ je ne suis donc plus à l’aube du premier jour mais au crépuscule de mes rêves les plus fous. Bref, je suis redevenu MOI! 😉
    La chanson n’est pas terminée. Il manque un solo avec un final plus explosif. J’y travaille …

  29. Merci Jojo pour le boulot. Le son est vraiment bon. Il faudra que je reprenne mes enregistrements pour un remixage en règle! car le volume reste faible.

    Vous verrez une nouvelle chanson que j’ai réalisé rapidement (quasi en impro) pour mon fils ainé, Romain. Je l’ai réalisé aux environ de « Guerre & Paix ». Et puisque je suis dans la famille, autant poursuivre avec Céline que j’ai dédiée à ma femme, Céline, qui entend des brins de piste que je joue et rejoue à la guitare sans entendre le morceau complet. Si vous saviez comme ça lui prend la tête souvent 😉
    Pour finir, comme vous l’avez constaté « Nouveau morceau » est devenu « Le moulin des supplices ».

    Ainsi se termine mon 1er album 😉 … « rires ».

  30. Le moulin des supplices est un film franco-Italien d’épouvante des années 1960 réalisé par Giorgio Ferroni. Le sujet porte sur l’amour impossible entre un jeune homme, Hanz, et la fille du professeur/sculpteur, Whal, et propriétaire du moulin qui est en fait un énorme carillon. Mais le docteur Bolem, demeurant aussi dans le moulin, est un bien curieux personnage … car il transforme les femmes du village voisin en poupées de cire ou femmes de pierre comme les appellent aussi les habitants. Et celles ci dansent mécaniquement lorsque le carillon sonne.
    Les paroles de la chanson font un parallèle entre notre monde actuel mélangeant guerre, crise économique, et la volonté de changement des peuples souhaitant un monde meilleur avec le docteur Bolem souhaitant asservir toutes ces femmes afin d’en faire ses automates et le héro, Hanz, ainsi que la jeune fille, Elfi, tentant de sortir de ce monde d’épouvante, le moulin des supplices.
    Voici un brouillon du refrain :
    Moulin de cire, ombre diabolique,
    Délires macabres aux envies maléfiques,
    Courir, fuir, loin de ces vies de pierres,
    A l’orée des campagnes aux couleurs de bruyères!

    Entendez les larmes qui couleront sur ce monde,
    Ouvrez les yeux, et réveillez-vous car il tombe,
    Courrez, lutter, pour combattre les vices,
    Ou entrez dans les brumes du moulin des supplices.

    Car c’est maintenant qu’il faut changer d’épée,
    Et suivre, sans division, le soleil des ainés.
    Cessons de pleurer, sortons des discours de pierres,
    Soyons fiers de notre courage pour sauver nos frères.

  31. Bonsoir,

    voici la dernière compo : nouveau morceau. Drôle de titre! normal elle n’a pas de titre, ni de parole pour l’instant. Mais je compte en faire … Elle est parti de quelques notes au piano. Puis tout s’est enchaîné. La guitare et les basses au clavier. Une première pré version a été mise sur facebook avec refrain et couplet. Puis une seconde, et une troisième version (en collaboration avec Jojo). Et enfin la fin de la chanson … comme elle commence … en douceur. Bref en trois jours elle était terminée. Je constate que je suis plus rapide à composer qu’au début. Par contre, j’ai eu du mal à trouver l’inspiration, contrairement à avant. Mais j’ai arrêté entre temps. Peut être est ce la raison. Je ne sais pas. J’ai voulu faire autre chose que ce que je faisais jusque là. Est ce réellement le cas … à vous de me dire.
    Bonne écoute.

  32. Ajout de la basse de Cyril sur le morceau Elle & Lui. Allez voir son site.

    Cela n’a pas été si simple que ça car je pensai que le .wav de l’instrument s’insérerait sans aucune reprise dans le morceau global. Mais non. Le son de la basse était trop pur. Je l’ai travaillé avec un equalizer et un outil de compression pour obtenir un spectre plus large. Je voulais une base de grave pour la chanson. Et voici le résultat. Autre point aussi sur lequel j’ai planché : le volume de la basse par rapport aux autres instruments. Lorsque j’ai inséré le morceau de basse dans la chanson, soit le volume était trop faible (volume à 0) soit il était trop fort (deux pistes droites et gauche à +5!!). Je voulais comme dit au début un spectre large, un socle de grave pour appuyer le reste de la chanson. En travaillant la partie basse avec l’equalizer et le compresseur, j’ai mécaniquement augmenté le volume. Je l’ai donc baissé jusqu’à -3dB sur les deux pistes droite et gauche. Et voici le résultat final. Bonne écoute …

    Pour ceux que cela intéresse, j’enregistre mes chansons sur un matériel Presonus. C’est une super carte son externe connectée au PC. Pour plus de stabilité sur le son, j’ai préféré un port fireware plutôt qu’un port USB 2. C’est vrai surtout pour le clavier en midi qui demande un PC plutôt costaud (processeur AMD à 6 coeurs + 8Go de Ram + DD de 6 Gbits/s) lorsque plusieurs pistes midi sont associées sur un morceau. Le logiciel fournis avec la carte est Studio One. C’est un très bon logiciel qui permet d’avoir une panoplie d’outil tels que la batterie (qui m’est très utile), des sons midi utilisé avec un clavier maître (un simple synthé acheté d’occasion avec une prise midi), des effets (equalizer, compression, reverb, …). Il est facile d’utilisation et est accompagné d’un tutoriel. Voilà pour la Pub! 🙂

  33. Surtout un grand merci à Jojo et à Lili pour leurs aides et leurs encouragements. Un spécial pour Jojo car parfois il recevait 6 ou 7 mails dans la même journée avec une version différente à écouter, à mettre en ligne ou pas. Bref, il a dû passer son temps devant l’ordinateur pendant ces journées là. Merci à tous les deux.

  34. « Elle & Lui » est ma dernière compo avant un break d’un an afin de m’occuper de ma petite famille. Car il est vrai que je passe beaucoup de temps à composer. N’ayant jamais fait de solfège, je mémorise les morceaux et les rejoue à l’oreille. Ceci me prend énormément de temps car je joue puis j’écoute. Et si ce n’est pas bon (c’est souvent le cas), alors je rejoue et j’écoute à nouveau. Le processus est donc long forcément. Cette chanson a été écrite en 10 jours, en ayant déjà la mélodie de départ.
    Le titre de cette chanson devait être « Retour en arrière » et raconter mon adolescence. Mais pour cela j’aurais dû casser la 3ème partie de la chanson. Et je ne le voulais pas car la mélodie finale sonnait très bien. Car j’écris d’abord la musique. Le texte vient seulement après. Et j’accorde plus d’importance à ma musique qu’à mes textes.
    La chanson est en 3 ou 4 parties. La 1ère représente la partie tendre de l’amour dans un couple (tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil!), le couple étant représenté par « Elle & Lui ». C’est le début, la première année… à vous de me dire ;-)) Cette partie peut être découpée en 2 avec une phase plus torride sur la fin (associée à la guitare électrique). La 2ème partie est basée sur 3 accords de la ligne de basse de la guitare électrique. Elle représente l’aspect plus tendu dans un couple qui arrive généralement quand un des deux s’aperçoit qu’il n’a plus la même liberté qu’avant! Enfin la 3ème partie est ma préférée. Elle identifie la partie durable dans un couple, celle qui lie l’un et l’autre pour ne faire qu’un. La mélodie répétitive représente le temps qui dure et qui se répète tout au long de la vie du couple. Le solo quant à lui (avec le clavier) représente les moments partagés.
    La chanson est basée sur la mélodie en arpège du début. Je l’ai trouvé il y a presque un an déjà. Je la trouvais agréable à entendre mais je n’arrivais pas à identifier une suite. Alors il m’est venu l’idée d’y associer la ligne de basse de la guitare électrique. Puis tout s’est enchainé.
    La batterie est un élément important de mes compo. Sans elle, il ne pourrait y avoir de sens à celles-ci que je construis au fur et à mesure. Elle structure l’ensemble et donne un rythme. J’essaie de m’appliquer le plus possible à la mise en place des enchainements de rythmes et des batteries utilisées. Lorsque j’ai commencé à composer, je n’ai pas eu ce réflexe. Je me suis trop basé sur les mélodies que je trouvais jolies. Mais en ré-écoutant mes premières compos aujourd’hui, je m’aperçois qu’elles sont plates, sans relief. C’est avec la chanson « Prisonnier » que j’ai commencé à comprendre. Mon intérêt aussi dans une chanson est son évolution dans le temps. Comment s’enchaînent les différentes parties les unes aux autres. Quel est l’effet apporté par cet enchaînement à la chanson ? Il faut trouver l’idée qui permet de tracer la route pour le reste. Et ce n’est pas évident à trouver parfois. Mais je pense que cela rend la chanson « écoutable » dans la durée. Ce n’est pas que du commercial comme on dit, et plutôt éphémère.
    Enfin la mélodie est ce que je recherche dans une chanson. Elle est l’élément final qui me permet d’aimer ou pas. Au départ, c’est quelques accords joués ensemble. Lorsque je joue, j’écoute beaucoup. En règle générale, je préfère jouer sur la 12 cordes. Mais pour « Elle & Lui », c’était plutôt la 6 cordes. L’oreille fait le reste.
    Lorsque tout ceci est en place, je choisis le son de la guitare avec ma zoom G7.1ut. Sur « Elle & Lui », je ne sais pas pourquoi, je n’arrivais pas à jouer. Je trouvais le son pourri. Je m’en étais aperçus avec « Guerre & paix », la chanson précédente, mais sans pour autant trouvé le son mauvais à ce point. Je me suis alors souvenu de ce que m’avait dit l’ancien propriétaire de la zoom. Je suis donc passé en mode « cabinet ». Le son n’est pas celui que je préfère mais je joue mieux (sans être bon) tout en ayant un son plus proche de ma musique. A présent il me faut trouver mon propre son.

    Depuis que j’ai commencé il y a quelques années, je pense avoir progressé dans ma musique et dans mon style aussi. J’ai été pas mal influencé par Cyril, mon prof de guitare (le bassiste sautillant et rasé sur les vidéos ;-)). C’est un excellent prof et un très bon ami, très pédagogique, et qui m’encourage. Sans lui, je ne serai pas là à vous écrire et à vous proposer mes chansons. Nico et Florian m’ont aussi beaucoup apporté : Nico m’a apporté par son envie de jouer bien, toujours mieux, et j’essaie encore et encore pourtant … mais il est bien meilleur que moi GRRRRR!! ;-). Quant à Florian, c’est son sens du rythme. Et comme je l’ai dit auparavant, c’est en jouant « Prisonnier » avec lui que j’ai pris conscience de ça. Merci à vous trois. Merci aussi à mes premières FANs que sont Magg et Camille.

    Au revoir et à dans un an.

  35. salut,
    je trouve le « petit » morceau de musique que tu m’as fais écouter tout à l’heure fort sympathique, malgrés le fait que ce ne soit pas encore assez metal pour moi. Continue comme ca et moi aussi je vais essayer de progresser, comme ca on pourra peut être un jour faire un morceau ensemble. bye.

    JEAN BA

  36. Thierry,
    toi qui a été le premier à me poster un commentaire, que penses tu de l’évolution de ma musique … es tu toujours là ?

  37. Guerre et Paix :
    Voici une nouvelle compo toujours en construction. Elle est en ligne car la mélodie finale (au clavier) forme un ensemble vraiment génial je trouve avec le reste de la chanson, et je tenais à vous la faire partager (mais ce n’est que mon humble avis) afin que vous me disiez si effectivement c’est le cas.
    La guitare est encore à poursuivre, le solo à la fin et ce qui est joué déjà peut être amélioré. Mais les claviers sont tous là, la 12 cordes, et la batterie aussi. La batterie a été pas mal travaillée. Il m’a fallu au moins une demi journée pour arriver à ce résultat et ainsi façonner la structure de la chanson. Les claviers au départ étaient là pour apporter des graves (car je ne joue pas de basse), associés à la batterie. Mais petit à petit j’ai développé des mélodies et un son qui font que la chanson est devenu une chanson de rock progressif. Il ne manque plus que les paroles et le chant de Nico … et un solo de guitare sur la fin. Mais j’hésite encore sur le solo à la fin car la mélodie telle qu’elle est à la fin me va très bien. Peut être une voix ou plusieurs voix plutôt ? Je ne sais pas encore. La chanson fait presque 9 mn. Attention c’est du rock progressif, je dirai même du néo-prog (du prog mais à la sauce métal sur la batterie et guitare surtout. Évidement comme c’est du prog les clavier restent, n’en déplaise aux vrai « métalleux », n’est ce pas Mathias et Jean Ba, que l’on est parfois ;-)). Car c’est connu qu’en nous sommeille un mettalleux! (j’avoue que de temps en temps, un Pretty Maids me fait du bien!)
    Elle s’intitule Guerre et Paix car c’est un contraste entre la paix et la guerre musicalement. Je l’ai voulu ainsi non pas pour répondre à Linda (cf. facebook) mais parce que ce monde dans lequel nous vivons est malheureusement ainsi. C’est la guerre contre la paix ou la paix contre la guerre, suivant le côté dans le lequel on se trouve. Mais pourquoi tant de haine dirons nous ? … malheureusement je n’ai pas de réponse! A vous de me dire peut être ?

  38. C’est vrai qu’ils ont fait fort. Je pense aussi que la guitare électrique de Cédric apporte vraiment un plus au morceau par le son qu’elle donne. Et Cyril a su lui ouvrir le chemin, et c’est toujours le plus dur à faire, pour qu’ils nous offrent à tous cette magnifique improvisation.
    Et comme tu peux l’entendre » Vaness » n’est pas commun.
    Bisous, Stéphane.

  39. Vraiment vraiment sympa ; très touchant – merci beaucoup Stéphane d’avoir pris le temps de composer cette musique pour notre mariage ; continues ainsi et je vois que tu es bien entouré ; bravo à tous les 3 – merci
    Vaness (et oui, c’est moi – la classe !!!!)

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